Si je perds c’est LA FAUTE des AUTRES (cette étude le démontre!)

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Le test !

La scène suivante se déroule dans une salle de classe.

Le professeur explique à ses élèves qu’il va leur faire passer un petit test très simple, en trois exercices.

La consigne est la suivante : dès qu’un élève a trouvé la réponse, il doit lever la main.

Le professeur lance la classe sur le premier exercice, et très rapidement, la moitié de la classe lève la main.

L’autre moitié de la classe est perplexe, car n’a pas encore trouvé la réponse, et regarde ceux qui ont levé la main.

Le professeur les encourage, leur dit que c’est facile, et demande à tous de passer au second exercice.

De nouveau, la même moitié de la classe trouve très vite, alors que l’autre moitié reste bloquée sur l’exercice, et montre des signes de découragement.

Enfin au troisième exercice, et de manière répétée, la même moitié de la classe lève la main rapidement, alors que l’autre moitié plonge avec stupeur dans un silence complet.

 

Un spectateur extérieur à cette scène pourrait croire que le niveau de cette classe est très inégal

A aucun moment, ni le spectateur, ni les élèves, ne pourraient se douter de ce qui se cache derrière ce test.

Avant de vous révéler le fin mot de cette histoire, j’aimerais que vous vous remémoriez une situation personnelle où vous vous êtes senti à côté de la plaque.

  • Peut-être était-ce lors de cet achat du Bitcoin lorsqu’il montait fortement et qui s’est soldé par une vente en perte lorsque la crypto a chuté ?
  • Ou encore lors de cette soirée d’intellos pendant laquelle tout le monde déballait sa culture apprise par cœur dans le but de briller plus fort que son voisin de table ?
  • Ou tout simplement à une épreuve loupée alors que la majorité de ses compagnons avait réussi ?

Ce genre de ressenti, nous l’avons déjà tous vécu un jour.

Ce moment où d’un coup, nous nous sentons stupides de ne pas comprendre une situation alors que c’est une évidence pour tant d’autres personnes.

A chaque fois, notre cerveau conclue que l’erreur vient de nous, et que donc nous sommes incapables, et bons à l’échec.

 

Mais si les dés étaient truqués…

La vérité c’est que l’autre moitié de la classe ne pouvait pas réussir ce test des 3 exercices.

Non pas parce les élèves étaient stupides.

Mais parce que le test était truqué.

Le professeur a distribué deux listes d’exercices différentes : une très facile et l’autre impossible à résoudre.

Les élèves ayant eu la liste facile passaient pour des surdoués, et les autres pour des « sous-doués ».

Et les « sous-doués » ont cru qu’ils l’étaient vraiment, car le troisième exercice avait une grande particularité :

  • Le 3eme test était identique pour tous les élèves!

 

Les élèves « sous doués » et découragés par leurs 2 premiers échecs ont tout simplement renoncé à résoudre correctement le 3ème exercice qui était largement à leur niveau.

Tandis que les élèves « sur-doués » et surmotivés par leurs 2 premières réussites, ont gardé cette confiance qui leur a permis de résoudre le 3ème exercice.

Dans les 2 cas, tout le monde s’est fait berner… par son cerveau… en bien et en mal.

 

Ce test connu s’appelle « Comment enseigner le découragement »

Ce que ce test a d’intéressant, c’est qu’il reflète comment notre monde, et notre système fonctionne.

Les humains s’organisent par petits groupes d’amis, par groupes de travail, par groupes de camarades sportifs.

La psychologie du groupe a un impact direct sur notre trajectoire de vie.

Si vous êtes bien entourés de gens qui sont persuadés qu’ils vont réussir et que vous allez réussir… alors votre probabilité de réussir explose à des niveaux stratosphériques.

L’humain est un être sociable.

Donc rester seul, n’est pas une option viable à long terme quand nous nous fixons des objectifs de vie élevés.

Car ces objectifs ont sans cesse besoin d’être challengés à la hausse par un bon entourage.

La moralité de ce test est qu’il suffit d’être mal accompagné, ou influencé continuellement par une personne négative, pour que tout devienne impossible.

Dans ce cas, il vaut mieux rester seul qu’être mal accompagné.

 

Les grands gagnants millionnaires du Bitcoin le doivent surtout à leur entourage

Il y a 3 types d’investisseurs sur le Bitcoin.

1/ Les nouveaux boursicoteurs

leurs décisions sont directement influencées par les opinions de leur entourage sur le bitcoin : le coiffeur, le taxi, Nabilla, les posts sur les réseaux sociaux…

Ces boursicoteurs ont perdu l’intégralité de leurs économies, car nous restons la moyenne des 5 personnes qui nous entourent.

2/ Les holdeurs

Beaucoup ont connu et investi sur le bitcoin bien avant 2010.

En général ce sont des électrons libres, très geek, et appartenant à des groupes de discussion d’informaticiens avant-gardistes.

Le système de croyance de ces individus est tellement hors matrice (le métier de développeur informatique consiste à créer le monde de demain)…

…qu’il leur a permis de conserver leurs bitcoins malgré les multiples implosions des bulles spéculatives sur le bitcoin (de l’ordre de -70% à chaque fois).

Leur système de croyance est hardcore, et ils l’entretiennent entre eux.

3/ Les spéculateurs

Peu importe l’actif, à partir du moment où il a du potentiel et un point d’entrée (à faible risque), les spéculateurs prennent le trade.

Les spéculateurs ont un système de croyance basé sur l’avantage statistique et le contrôle du risque.

Ainsi sur un grand nombre de trade, l’objectif est de s’exposer à quelques accidents positifs de richesse qui vont générer toute leur performance annuelle.

Sur le reste des trades, le spéculateur a pour simple but de gérer des petites pertes et des petits gains.

Avec cette approche statistique de la spéculation, le spéculateur a besoin d’un entourage qui lui permet de rester aligné avec son plan de trade.

 

Dans ces 3 exemples d’entourages, les investisseurs qui sont ressortis gagnants sont ceux qui ont su le mieux s’entourer : les holdeurs et les spéculateurs.

Un holdeur isolé perdra sa foi lorsque le marché perdra -93%.

Un spéculateur qui reste isolé sera tenté de régulièrement entraver ses propres règles.

 

Nous sommes la moyenne des proches avec qui nous échangeons le plus

Il est primordial de comprendre qu’un échec est bien plus dépendant de notre choix d’entourage que de notre réelle capacité.

Dès lors, si nous nous retrouvons dans une petite bulle composée d’esprits alignés avec notre direction, nous progresserons plus vite en un an, qu’en restant seul ou mal accompagné pendant dix ans.

Actuellement je me prépare à recréer pour la 4ème fois cette bulle vertueuse dédiée aux spéculateurs francophones.

Elle prend place dans mon école LSL qui réouvre ses portes en Septembre.

Chaque année, des élèves de tous niveaux et de différents pays intègrent cette expérience humaine unique.

Et pendant 9 mois, j’instaure un climat propice au recâblage intégral de son propre système de croyance, de pensée, et de jugement du monde.

Les élèves se retrouvent dans une sorte de sanctuaire où le jugement, la pensée négative et destructrice n’ont plus leur place.

 

Voici quelques avis et témoignages d’élèves de l’école « Le Spéculateur Libre » sur la qualité du GROUPE D’ENTRAIDE de l’école:

 

Ne loupez pas les inscriptions à la prochaine Promo LSL !

Ca se passe début septembre (ça n’ouvre qu’une fois par an pendant quelques jours).

Pour en savoir plus sur mon école de bourse LSL – Le Spéculateur Libre, rendez vous sur cette page.

Bonne découverte

Cédric Froment

 

A lire aussi:

Le Spéculateur Libre – Track records et avis des élèves

2 Commentaires

  1. Cheyssial 13/08/2019 Répondre

    Je confirme cela à était une excellente année en tout point.

    • Farid Team Cedric 13/08/2019 Répondre

      T’es au top.

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