Il mise son héritage en suivant un conseil boursier, et voilà ce qui arrive

(la version vidéo est tout en bas de la page)

Il y a quelques mois, l’épargne d’Alain a fait un bond en avant.

Il y a 3 mois, tante Germaine quitta ce monde, et Alain hérita d’une belle somme à son départ.

Son portefeuille afficha d’un coup un 7ème chiffre.

Ce million d’euro était une aubaine, Alain se voyait déjà parcourir le monde et ne plus avoir aucun souci d’argent, et d’ailleurs aucun souci tout court.

  • On lui avait raconté que beaucoup de gagnants du loto finissaient par dilapider l’intégralité de leur fortune en quelques années.

Mais Alain était différent, il ferait les choses correctement pour profiter de sa nouvelle liberté tout en pérennisant son capital.

 

Il se mit alors à la recherche des meilleurs placements possibles et il n’eut pas à chercher loin…

En quelques clics sur des sites spécialisés, beaucoup de propositions arrivèrent sur sa boite e-mail.

Beaucoup étaient bizarres, car sans demande de sa part.

Même son désagréable banquier le contactait aujourd’hui tout sourire : « j’ai exactement les placements qu’il vous faut ».

Alain n’était pas dupe, et c’est à ce moment précis qu’il réalisa que placer son argent nécessitait des connaissances.

Il constatait que cet héritage attirait les mouches comme sur un pot à miel.

Mais il n’avait pas les armes pour se défendre, et encore moins celles pour contre-attaquer en faisant ses propres placements.

 

Il ne voyait plus qu’une seule solution : apprendre à investir en bourse

Il décida donc de se connecter aux marchés financiers comme on connecte un malade par intra-veineuse à l’hôpital.

Tout arrivait dans le creux de sa main : son smartphone bipait joyeusement toutes les heures, à chaque news financière.

Alain suivait tous les jours les news économiques de Yahoo finance.

ultra connecté en bourse heritage

Il avait aussi créé cette routine d’écouter BFM radio le matin dans la voiture avant l’ouverture des marchés, et le midi pour l’analyse après ouverture.

Alain devint carrément addict aux publications des analystes des courtiers.

Il se détendait en regardant des émissions TV spécialisées; quant à son forum fétiche Boursorama… il se fit carrément une nouvelle bande de copains dessus.

Il s’était même abonné à plus de 10 lettres de recommandations boursières avec eux !

En l’espace de quelques semaines, Alain était devenu un ultra-connecté.

 

Mais après quelques semaines d’ultra-connexion, c’était le brouillard total dans sa tête

Il ne savait toujours pas comment trouver des actifs financiers à fort potentiel.

Il ne savait toujours pas comment construire un portefeuille qui ne subit pas les krachs boursiers, et qui génère une rentabilité la plus régulière possible.

Alain se retrouvait juste dans une situation qui ne répondait pas à son souci d’argent.

Il s’était noyé dans un tsunami d’informations.

Et pire, il se rendait compte qu’il commençait à devenir un mouton de la bourse.

Mouton de la bourse et spéculateur

Car si Alain pensait que le monde lui appartenait grâce à son compte titre fraîchement ouvert et gonflé à 6 chiffres…

 

…il déchanta très rapidement après sa première transaction d’achat – revente

Car dans le plus grand parc d’attraction du monde qu’est la bourse, Alain prit conscience qu’il venait juste d’acheter un billet pour faire l’attraction favorite des boursicoteurs appelée « ascenseur émotionnel » :

Psychologie-investisseur en spéculation

Il connaissait déjà ce graphe de la psychologie des foules.

Cependant, l’excitation de son ultra-connectivité a été bien plus forte que sa rationalité.

 

Voici comment Alain a perdu une fortune sur cette 1ère transaction

Au creux de sa main, le bip du smartphone lui annonça « l’opportunité du siècle ».

Un analyste prédisait une forte hausse sur l’action du siecle.

Ce titre, sanctionné injustement sur une news, avait chuté. Il ne pouvait que remonter fortement.

L’auteur était sérieux et fiable, Alain l’avait déjà lu dans d’autres articles bien écrits.

Alain prit une ligne de 250000€, le quart de son CTO.

Et en quelques semaines, le titre passa de 10 à 12 puis 14 euros.

Alain était euphorique.

Le bon conseil payait, et venait de lui rapporter 100 000€.

Puis ce fut la douche froide.

Les 100 000€ disparurent quand le titre plongea lourdement.

Deux semaines plus tard, Alain était carrément en perte.

Alain paniqua.

Comment ses 250000€ étaient-il devenus 200 000€ alors qu’il gagnait 100K il y a encore peu de temps ?

Il ne comprenait pas d’où venait l’erreur.

Sur d’autres sites spécialisés, ce titre n’était pas qualifié d’aubaine, mais de « naufrage programmé ».

Ces sites gratuits, Alain ne les avait pas écoutés.

Paralysé, Alain décida d’attendre un peu. Et le titre repartit de plus belle à la hausse, sur son niveau d’achat.

Alain se dit que l’analyse devait être finalement bonne, seul le timing était décalé. Il fallait juste attendre.

Du coup, Alain nota sur un post-it jaune, sous son écran d’ordinateur « Attendre, ne pas vendre ».

Mais il vécut l’horreur les semaines d’après.

Le titre plongea de nouveau, remonta, puis plongea bien plus fort encore, un vrai Yo-Yo baissier.

Cette action stupide n’obéissait pas à l’analyste, et Alain était prisonnier de la petite feuille jaune qui lui rappelait la consigne à respecter : holder.

Hélas, le titre continua de s’enfoncer doucement mais sûrement vers le bas du graphique.

Ce qu’a vécu Alain n’est pas un cas isolé.

C’est un véritable voyage émotionnel, entre peur, angoisse et intoxication par les médias financiers.

C’est surtout l’exemple même de la psychologie des foules, illustrée ici dans le trading.

 

L’erreur principale est de dépendre de quelqu’un pour investir

Confier sa réflexion, et son argent, au jugement d’un banquier ou d’une lettre de conseils n’a jamais été synonyme de liberté financière.

Ce genre de conseil n’apprend ni à gérer un money management, ni quand entrer ou sortir de position.

Mais surtout, dès le moment où l’on applique ces conseils comme Alain, on se retrouve seul face à ses doutes, sans écoute ni feedback.

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle chaque année, je mets tout en œuvre pour former les élèves de mon école vers l’autonomie.

Il faut à la fin être capable de « pêcher son propre poisson ».

 

Déléguer ses investissements, c’est comme confier la décoration de votre appartement à un artiste-peintre gothique

Vous devez être en phase avec son courant d’idée pour un résultat apprécié.

Dans le cas contraire, la surprise sera désagréable à votre retour chez vous.

En bourse, il existe beaucoup de façons d’investir.

Il faut trouver, parmi toutes les anomalies statistiques de marché, celle qui vous ressemble.

 

Depuis longtemps, mon choix s’est porté sur la plus significative de toutes : le momentum

C’est l’approche boursière qui respecte le mieux la psychologie humaine.

En effet, nous sommes câblés pour apprécier la progression haussière d’un actif, et mal à l’aise quand celui-ci corrige à la baisse.

Se positionner sur un momentum haussier, c’est-à-dire sur une grande vague de hausse, puis savoir couper sa position quand le mouvement s’essouffle est la méthode avec laquelle 90% des gens peuvent trader.

Et c’est l’approche qu’on utilise dans mon école LSL Le Spéculateur Libre.

 

Xavier, un des élèves de la dernière promotion LSL 3.0 en parle d’ailleurs très bien, voici son avis :

Témoignage Xavier 1 LSL Le speculateur libre

Témoignage Xavier 2 LSL Le speculateur libre

 

Les inscriptions à LSL n’ouvrent qu’une SEULE fois par an!

Il n’est possible de rejoindre mon école de bourse Le Spéculateur Libre que pendant quelques jours (début septembre).

Pour ne pas louper la prochaine session, rendez-vous sur cette page et laissez moi votre contact email.

A très vite

Cédric Froment

 

Version vidéo de l’article:

 

A lire aussi

Le Spéculateur Libre – Track records et avis des élèves

D’autres avis ici

1 Commentaire

  1. Paul Montariol 24/07/2019 Répondre

    Bravo pour l’humour!

    Smiling Paul

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